Amateur de photographies d’orages, on me demande régulièrement quels sont les réglages à adopter pour y parvenir. Du coup, je me dis qu’un petit article technique sur le sujet ne serait pas malvenu. Il n’a pas vocation à faire référence dans le milieu, mais juste à partager ma façon de procéder. Alors si vous aussi vous faites des photos durant les orages, n’hésitez pas à partager votre expérience en commentaire.
Vous vivez à Montpellier ? Vous aimez Montpellier ? Alors vous allez surement aimer revivre en photo ces événements qui ont marqué la ville durant cette année. Et pour ça, comme l’année dernière, les éditions Chabot du Lez nous ont concocté le Replay Montpellier 2014.
Pour rendre ce projet possible, ils font appel à vos contributions via la plateforme Ulule. En échange de 10€ (+4€ de port), vous aurez droit à votre exemplaire. Alors foncez, il ne reste plus que quelques jours.
PS: Si vous êtes au moins 3 à l’acheter, je vous montrerais en super exclusivité une de mes photos qui fait partie de la rétrospective.
Alors voilà, on est début 2014. Je suis un des premiers Freenautes de Montpellier à être raccordé à la fibre optique, et ce depuis plusieurs années. Donc entièrement satisfait par le service, mis à part quelques ralentissements sur Youtube (mais ça allait quand même).
Puis un jour, un commercial SFR sonne chez moi et me montre l’offre de SFR. 19,99€ par mois pendant 1 an (soit 10€ de moins par an). L’offre de service est équivalente. N’ayant pas de télé, je n’ai pas besoin de l’option TV. Et mon petit plus, c’est que j’aurais un débit supérieur. Car en effet, la Freebox V5 ne dispose que de ports Ethernet 100 Mbps, ce qui bride donc ma connexion. Et n’ayant pas de téléviseur, la Freebox Révolution ne m’est guère utile.
Après réflexion, je finis par signer le contrat. Le commercial (un courtier probablement uniquement payé à la vente) me laisse le choix dans la date de raccordement (pas avant un mois, le planning étant plein). Soit. Je ne suis pas pressé, vu que j’ai ma Freebox. Vu que techniquement, il y a 2 fibres qui arrivent dans mon appartement (une pour Free, une pour les autres opérateurs), il me confirme que je ne serais coupé de ma Freebox qu’une fois passé le technicien SFR.
Deux jours plus tard, je reçois un appel sur mon mobile. “Bonjour, Free Infrastructure au téléphone. Nous avons reçu une demande de déconnexion de votre ligne au profit d’un autre opérateur. Est-ce bien vous qui avez effectué cette demande ?”. Il m’indique le contraire du commercial, à savoir qu’il ne peut y avoir qu’une seule fibre connectée par appartement, et que j’allais donc être déconnecté sous 72h.
72h après, ma Freebox tournait en rond.
Je contacte donc le service raccordement de SFR. Numéro dédié au raccordement fibre, non surtaxé et qui décroche en 30 secondes. Bravo. Mais voilà, tant que la ligne n’est pas provisionnée, impossible de m’accorder un rendez-vous plus tôt. Du coup, je prend le soin de les appeler tous les 2 jours pour demander où ça en était. Au bout de presque 2 semaines sans internet, la ligne est provisionnée.
J’obtient un rendez-vous pour le surlendemain. Le technicien, très aimable (c’est un prestataire externe) procède au remplacement de mon boitier fibre (chose totalement inutile car les connecteurs sont les mêmes), branche le matériel et roulez jeunesse.
Certes j’ai été déconnecté du monde pendant 3 semaines, mais je peux désormais faire des Speedtest à parfois plus de 800Mbps. C’est un peu la compensation, mais il est évident que si j’avais su, j’aurais préféré rester chez Free. Surtout vis à vis de l’acte 2.
Au passage, SFR rembourse les frais de résiliation de Free, mais forcément, c’est que sur présentation de la facture. Et voyez vous, impossible de se connecter sur le site de Free pour obtenir la facture de résiliation. Il y avait un bug pour les lignes résiliées. Obligé de faire jouer mes relations auprès d’un ami qui travaille chez Free afin qu’il m’édite ma facture, car j’approchais de la date limite d’envoi.
Au lendemain de la journée à Pamukkale, nous reprenons le chemin de la côte. Une escale “commerciale” aura lieu chez un marchand de tapis qui nous présentera la fabrication de ceux-ci. Et bien entendu, on nous proposera d’en faire l’acquisition. Pas cher, pas cher. On jouera au jeu de la négociation, mais toutefois sans rien acheter.
Puis en arrivant à l’entrée d’Antalya, nous ferons une halte au bord de la route afin d’immortaliser une première cascade. La plus belle et plus connue arrivera le lendemain.
Lors de la réservation du voyage, nous avions le choix entre deux circuits correspondant aux deux principaux lieux touristiques du sud de la Turquie: la Cappadoce, ou Pamukkale. Sur les photos, les deux lieux sont superbes et invitent au rêve. Et puis bon, puisqu’il fallait faire un choix, c’était presque au pif que ça a été fait. Va pour Pamukkale et son eau chaude. Après tout, on dit que c’est la huitième merveille du monde (titre que beaucoup de lieux revendiquent).
Au lendemain de la journée à Perge, c’était parti pour plus de 350km en bus. Pas de bol, de la pluie est annoncée mais nous prions pour que ça ne soit pas trop le déluge. On nous déposera dans un premier temps dans la ville de Pamukkale, d’où nous pouvons admirer le paysage d’en bas. On a l’impression d’être face à une piste de ski.
Mais voilà, le site de Pamukkale, traduit littéralement “château de coton“, se visite depuis son sommet. Là où gisait autrefois la ville de Hiérapolis, fière de ses thermes. Forcément, avec de l’eau à 45° qui sort de la montagne, c’est le lieu idéal.